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| Le coeur lourd, je marche sur tes traces, Mais jamais je ne te rattrappe Tu virevolte et moi trop lasse Je n'y peux rien, je m'y perd Attend moi, mon coeur bas trop fort Et je ne sais pas te parler Je voudrais, je ne peux pas Les mots se coincent en moi Et tu ne m'aide pas de tes cris Viens vers moi tu me dis Oui, je viens mais ne te rejoins Jamais, je ne te suis pas Je m'arrête trop tôt Je n'y arrive pas |
| A l'horizon je vois, des limites à nous Des limites à toi, réalité d'ici Mais loin tu iras sans moi Ton frein d'amour froid Fade, irrespirable est mon air Si tu n'es plus là Mais tu vois, à l'horizon Cher toi qui t'en va J'y pense encore à demain Mais l'horizon n'est plus A nous, à moi, à toi A qui donc? L'avenir Me possède déjà Car des mots je n'ai plus Mais à l'horizon que vois-je? A part vide et désillusion Réalité d'une autre que moi D'autres que nous D'un autre que toi C'est l'horizon d'un homme perdu Qui s'en va retrouvé celle Qu'il croyait perdu en lui Mais qu'il soupire encore Reviens enfant martyr L'horizon approche Et moi je m'éloigne Aussi loin qu'on le permet Mais pas trop tu vois Si je te perd de vue Je ne suis plus A l'horizon, si loin de toi
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Et comme une fleur tu t'ouvriras,
Tu t'epanouiras et je t'aimerais
| Il y avait Isabelle, Pierrot Et tata Domie... Ils m'ont pris par la main Et m'ont menée bien loin Pays d'art et de lumières De mots et de paysages Avec amour toujours Et parole d'argents Il y avait Isabelle et Pierrot Et tata Domie... Ils m'ont emmenné si loin Que je ne peux revenir Je reste avec eux Au pays des rêves Des mots qui coulent Et de la lumière qui trace Et ecrit des histoires de vie Pierrot m'a dit Que la vie est belle Isa aussi Elle porte des ailes Et Domie Que ses mots sont jolis L'amitié de la blogsphère Est douce, douce Pleine de de magie Avec Isa, Pierrot et Domie... |
| La gorge serrée De ne pouvoir te retenir Je te vois au loin Me fuir, partir Les yeux voilès De ne pouvoir te dire Les mots incertains Prommesses, caresses Les poins fermés D'avoir à tant souffrir De cet amour malsain Péchés, inavoué
Je t'aimais tant ma maitresse Femme de mes nuits Tu me couvrais de tendresse Mais tout est fini Je fuis ton gynécée De femmes impures Toi, reine épargnée Par mes profondes blessures Laisse moi mes pensées Mes sentiments trop fort Pour toi et tes attentes Même si mon coeur est mort Je suis une insolente Je bafoue ton souvenir Sur la peau d'une autre
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Le monde est ma scène
Où tous les jours je joue
En un acte, en trois acte
C'est ainsi
Le monde est la scène
Où j'apprends
J'apprends mon rôle
Avec hésitations parfois
Mais ma pièce se joue
Avec improvisations
Tragédie, Comédie
On ne peut vraiment
Lui trouver un univers
Le monde est ma scène
En trois acte j'ai appris
A être celle
Que je me devais d'être
Donner le meilleur de moi
Pour les autres
Pour l'amour
Pour la vie
Pour moi
| Tu vois, C'est toi que j'attendais tout ce temps Bientôt tu seras là, J'ai peur, mais pas trop Parce que je t'aimerais Oh, oui, je t'aimerais Mon enfant, ma moitié Mon tout, mon univers Que tout ceux qui M'ont dit trop jeune M'ont dit pas assez mure Se taise enfin, Bientôt tu seras là Au creux de moi Et tu verras Comme la vie peut-être douce |
