Pour rien...
Rien pour rien,
Je ne pleure pas,
C'est rien, laisse
Ce ne sont pas des larmes
Rien pour rien,
Tout va bien
Mes joues sont sèches
Mes yeux clairs
Rien pour rien,
Mon coeur va bien
Tout va, tout va
Laisse vivre
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Rien pour rien,
Je ne pleure pas,
C'est rien, laisse
Ce ne sont pas des larmes
Rien pour rien,
Tout va bien
Mes joues sont sèches
Mes yeux clairs
Rien pour rien,
Mon coeur va bien
Tout va, tout va
Laisse vivre
Brisé,
Je suis fanée
Veinement je ressucite
Violée,
Je suis bafouée
Veinement je combat
A mort, a mort!
Traîtresse!
Resonne
Emprisonne
Mes sens éveillé
Veinement en sursis
Dépareillé d'avec elle
A mort, a mort!
Enchanteresse
Qui est tu?
Bourreau sans coeur
Perdue
Deçue
Veinement je respire
Encore et encore
Décrochée
Empalée
A mort, A mort
Impie
Je me rend
Charpie
J'allume ma télé et je ne vois que catastrophe, Tsunami, ouragan, incendies, sécheresse. La Terre se venge, car nous ses enfants l'avons bafouée, trahie. Nous devons tous le respect à notre Mère, hélas nous l'avons oublié. Aujourd'hui il est trop tard.
La Terre, notre mère nous a donné encore et encore sans jamais rien recevoir en retour, mais par amour, nous epargnera-t-elle? Qui sait? L'amour peut beaucoup, mais les griefs aussi. Elle doit beaucoup nous en vouloir. Certains ont ouvert les yeux et l'adorent maintenant avec autant de ferveur que d'autres adorent Dieu, Allah, Ram et compagnie.
Egoistes que nous sommes! Le pire outrage a été de croire que nous étions plus fort, que nous pouvions tout conquerir et qu'elle nous appartenait. Mais aujourd'hui nous découvrons que seule, Elle, nous possède. Elle nous nourrit et nous protège. Evidemment, elle nous punit. Et contre ça nous ne pouvons rien.
Elle pleure tant et tant que les océans débordent, elle grogne et la terre tremble, elle est malade et le ciel brumeux. Qui saura arréter le massacre? On beau dire, les habitudes restent, on a peur mais rien ne change. Comme moi les beaux parleurs parlent, alarme l'humanité. Mais que reste t-il de l'humanité? Des fous de pétrole qui est le sang de notre Mère? Des aliénés tout puissant qui contrôle son dernier souflle?
Je ne sais plus rien, tout ce que j'avais cru savoir m'echappe et j'ai réellement peur, je m'en veux, je nous en veux, de n'avoir pas su ouvrir les yeux plus tôt. Evidemment j'ai mal au coeur, quand touts les jours j'entends les nouvelles plus mauvaises les unes que les autres.
Que verront mes enfants? Que penseront-t-ils? Pas de reponse. Y'a-t-il un lendemain?
J'ai ouvert le livre qui me contait, j'y ai trouvé des mots impatients, des mots passionnés et torturés. J'y ais lu des passages qui m'ont fait frémir, pleurer et sourire. Je tournais les pages, je me redécouvrais, c'était moi, celle que je suis. Portant un regard autre sur le monde, des pages noircies de mots pessimistes qui se voulaient rassurant. Paradoxe de la passion de laquelle je me nourris jour après jour.
J'ai ouvert le livre qui me contait, je me suis fait peur, tant d'espoir déçu, tant de frustrations. Mais alors j'ai su que ce n'était pas fatal, seulement une leçon offerte par la vie. Je tournais les pages et c'était vrai, j'en sortais grandie. J'ai cherché les demi-mots, je n'en ai pas trouvé, radical est la vérité d'une phrase ecorchée. J'ai lu encore et encore, j'ai bu les paroles, et reconfortée je tournais les pages de mon passé.
J'ai ouvert le livre qui me contait, j'ai rit aux eclats par tant de moments partagés. Des confidences, complicitée jamais perdue. Mes larmes ont coulées, nostalgique de ces années qui jamais ne reviendront. Découverte de l'autre, des autres et puis du moi qui se cache en nous. Printemps après printemps, hiver après hiver, j'ai ri, crié et pleré dans leurs bras, ils m'ont portés sur leurs épaules et moi sur les miennes. J'ai tourné les pages, mais eux sont toujours là.
J'ai ouvert le livre qui me contait, étonnée je me suis vue découvrir l'amour. Premiers emmois, premiers baisers. Doux palpitements, mes lèvres se sont étirées en un sourire des mots maladroits utilisés. Tous ceux-là que j'ai portés dans mon coeur, mon coeur s'en est souvenu et je suis retombée à l'âge de fille en fleur que j'ai tant aimé. J'ai tourné les pages et j'ai réappris à aimer innocemment.
J'ai ouvert le livre qui me contait, j'en ai tourné des pages, mais aujourd'hui je suis femme, faite de tout ça, rire amour, amitié, pleurs, haine, griefs.
Ce que je retiens de tout ça, c'est le meilleur bien sur!
Tu me crois, dit?
Si je te dit que je vis par toi
Pour toi et en toi
Tu me crois dit?
Si je trouve un océan
Pour inonder ma passion
Qui me dévore
Tu me croit?
Si ton amour était poison
Je serais morte cent fois
Morte d'agonie
Tu me crois?
Que les lianes qui m'étouffent
Viennent de toi
Et m'entourent
Tu me crois?
Je te l'ais trop dit
Mais je t'aime
Je ne veux que toi
Tu me crois?
Bon allez, Je me lance! Cette note porte sur Star academy!!!Bouuuuuh, me direz vous!!! Je sais, je sais, mais bon qui n'a pas regardé? Je voudrais poussez un coup de geule à Raffi!!! Elle est d'une mechanceté inegalable. Ma belle Emilie qui a fait un magnifique prime samedi soir elle l'a descendu en flèche. Soi disant que mademoiselle avait l'air je cite" d'être trop à l'aise et de faire partie du groupe". Et encore mieux, reste à ta place d'élève. Je trouve ça grotesque! Elle doit peut-être retombé au même niveau que Maud qui chante cinquante fausses notes d'affillées et qui, elle, a vraiment l'air d'une élève. Ca m'a choqué d'entendre des propos pareil.
Faudrait-il que ces pauvres "élèves" restent à un niveau plus bas que les "artistes" invités par ce que soi disant ce sont des élèves? N'ont-ils pas le droit de montrer qu'ils ont du potentiel? Je savais bien que la télé-réalité c'était du nimporte quoi mais là, ils vont très loin. Je pensais qu'ils voulaient créer des artistes mais ils veulent seulemnt nous montrer des zouaves sur pattes.
En tout cas je suis très déçue et pour une fois que je trouvais une academicienne digne de faire carrière il a fallu qu'on me la casse. quel monde abruti!!!
Pliée en deux,
J'agonise sur mon lit de mort
Vous me croyez morte mais non,
Je l'ai voulu.
Je me suis ratée,
Et vous riez autour de moi
Vous vous réjouissez de mon départ
Ca me tue,
Lentement,
Mais je m'accroche
Vous ne m'aurez pas.
Ma fin n'est pas si proche
Mon heure est encore loin
Laissez moi me relevez
Tant de volonté à la vie
J'y crois encore
Laissez moi une chance
Ne riez pas de mon départ
Car je reviens
L'art m'appelle
Ma vie est là
Elle m'attends
Ma bien aimée
J'arrive, ne t'en va pas
Mon dernier soupir
Je le reprend
Vous ne m'aurez pas
Ma vie est là
Elle m'attends
Elle a toujours cru en moi
Pas comme vous
Laissez moi
Je reviens parmi vous
Je suis en vie
Où le coeur nous mène
Quand un jour on est là?
Pourquoi?
Le fil de la vie, ténu
Tel un papillon virevoltant
Où le coeur nous mène
Quand un jour on se perd
Dans le coeur d'un autre
Quand on ne fait plus qu'un?
Où le coeur nous mène?
Un jour je suis là
Demain je n'y suis plus
Déjà, une autre direction
Inconnue, méconnue
Mais déjà une habitude
Et là, on recommence
Où le coeur nous mène?
A quoi la vie joue?
Elle se joue de nous
Pauvre victime
Spectateur de nous même
Où le coeur nous mène?