Petit absent

J'ai toujours voulu être maman,
depuis très très longtemps. C'est
viscéral, ca me prends au coeur,
Ca me dit qu'il le faut. Mais quand on est deux,
L'autre n'a pas ce désir si fort, que fait-on?
Un compromis qui fait souffrir? Quand mes yeux s'attardent
sur un petit bout qui n'est pas le mien, mon coeur se serre.
Pourquoi je ne peux etre mère? J'aurais tant à lui donner à
ce petit bout. Et puis mince....ecrire cette note
Me fait mal au coeur. désolé....

Toi là bas...

Et voilà que je pense à toi,
Mon amour, ma vie
Toi qui es partie
Tu as quitté mes bras
Belle de mes nuits
Je ne pense qu'a ton sourire
Je ne sais comment je vis
Sans ta presence
Près de moi tu n'es plus
Je maudis ton absence
Reviens je t'en supplie
Mon amour,
Mon coeur, ma vie

On m'a dit

Un matin on m'a dit
De toujours faire confance en la vie
Mais je n'y crois plus
Je crois en l'air du temps
Le temps qui passe
Est bien plus fidèle
Qu'elle
Elle n'a jamais tenu
Aucune de ses promesses
Blessée, je veux la quitter
Mais elle m'agrippe
Férocement
Elle me ment
M'apate avec un iconnu
Qu'elle m'enlève aussitôt
Me fait mal et cicatrise mal
C'est elle qu'on m'a offert
En me disant que c'était precieux
Mais moi je sais
Que ce n'est pas vrai

Vous revoir

Marc Levy annonce la couleur,
Je ne fait pas qu'ecrire, je lis aussi
Et là, Chapeau!!!
C'est vrai que comme à son habitude le demmarrage
est long, très long. Mais là, une fois que c'est installé on
a le coeur qui vibre, qui fait des bonds, le cerveau en alerte.
Après Et si c'était vrai, son succès numéro un et tous ses autres
romans d'amour hors du commun, il y a le petit dernier.
Que je vous conseille avec ardeur.

Vie

Ce n'est qu'une vie
Mon amie,
N'oublie jamais
Ce beau secret
Si tu pleure
N'oublie pas
Que ton aigreur
Un jour passera
Un jour tu guéris
Un jour tu souffre
Un jour tu souris
Tu emerge d'un gouffre
C'est ça la vie
Du rire aux larmes
Des jeux aux armes
Et tu danse
En cadence
Mon amie
C'est ça la vie

Libre

Vois-tu,
Ce n'est pas tant l'egarement
Qui m'egare.
C'est moi même
Par désoeuvrement
Sans doute.
J'ai penser me libérer
Defaire les liens
Qui me rattachent à toi
J'ai essayer, mais pourtant
Je suis revenue
Sans hate, je l'avoue
Mais par amour
Parce qu'il n'a pas fané
Il s'est même epanoui
Un peu plus encore
Je ne sais pas vraiment
Ce que je souhaite au fond
Me libérer ou t'appartenir
J'ai besoin d'air
J'ai besoin de toi
Tu me possède déjà
Mais pas toute entière
Car je m'envole
Dès qu'un peut trop
Tu m'attaches
Je t'aime
Mais l'amour n'est pas ma prison

Brule

J'ai offert mon corps
Au soleil mon ami
Qu'il le rechauffe!
Et sous ma peau
Mes veines ,
Seront en ebullition
Mon corps s'eveilleras
Sous les rayons enchanteurs
Et moi qui frissonnait
Je serais exaltée
Par tant de chaleur
Et heureuse ainsi
Je me mettrais nue
Pour que ma peau meurtrie
Guerrisse à ses effluves
Le soleil mon ami
Panse mes blessures
Il les brules
Et je retrouve l'envie
De retourner au combat

Là et ici

J'ai decouvert que rien,
Non rien,
Ne remplace mon coeur
Qui bat là
Qui bat pour toi
J'ai essayé de le faire taire
Le mettre en sourdine
Car le bruit qu'il fait
Quand il bat ici
Resonne en moi
Trop fort,mais je n'y peut rien
Je danse sur son rhytme
Souvent en cadence
Et j'imagine que toi
Là tu viens
Et tu danses avec moi
A l'unison le tiens en choeur
Nous accompagne
Dans cette ronde entetante
Musique d'amour
Ici me rend ivre
M'ennivre de toi, par toi
Et avec toi je veux le vivre