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  • Elle a la peau couleur du soleil

    Je me rappelle encore sa robe blanche. Dedans, elle rayonnait. C'etait un bonheur simple, doux, plein de douceur qu'elle tenait au creux de sa main. Avec elle ça n'avait même pas l'air fragile. Ni fugace. Ce qu'elle vivait semblait avoir été écrit pour elle. Elle menait sa vie tambour battant.  Entière, elle avait passé une année à régler chaque détail de ce jour si précieux. Presque seule, elle se démenait à tout les fronts pour que ce soit parfait. Elle pensait à tout. Et pour ça je l'admirais. Je sais que jamais je n'y serais arrivée seule s'il s'était s'agit de moi. Et même si elle doutait parfois, elle donnait l'impression que ce n'était qu'un petit moment d'égarement sans consequences parce que la seconde d'après elle remontait la pente. A tout problème elle avait trouvé une solution.

    Alors à la voir souriante, pleine de vie, heureuse simplement, j'ai reçu de plein fouet son savoir faire. Elle savait creer la joie dans sa vie. Main dans la main avec celui qui était devenu son mari, j'étais certaine qu'elle savait qu'après ce jour plus jamais elle ne serait seule. Et malgré sa force, son homme n'était pas de trop pour combler sa fragilité intérieure. Entourée de tout ceux qu'elle aimait, elle semblait montrer au monde qu'elle aussi pouvait être heureuse. Malgré tout.

    Je me rappelle que ce jour là je n'ai pas vu d'ombre sur son visage. Elle profitait de chaque instant. Et son sourire franc s'offrait à qui en voulait.

    Et je voudrais lui dire, que je l'aime. Parce qu'elle m'apprend tous les jours le courage, la force, la folie douce. Un jour je sais que ce sera la plus heureuse d'entre nous.

     

  • Bouygues

    Je n'avais pourtant pas rêvé notre ydille. Elle était réelle. La passion des débuts, le manque lors d'une abscence même courte, les confidences sur l'oreiller, la découverte de nos corps. Toutes ces choses qui compose la symphonie des premiers instants. J'avais ouvert ma carapace de quelques millilmètres pour lui. Malgré ma méfiance. J'aimais le tourbillon dans lequel il m'avait entrainé, avec le temps je m'étais faite à tout les plaisirs qu'il m'offrait. Et j'ai commencé à y croire.

    Une heure du matin. Les chiffres sur mon ecran digital ne mentaient pas. Peut -être à une ou deux minutes près. Pas vraiment le milieu de la nuit. Pas assez endormie pour éviter le choc. La mélodie guillerette de mon telephone a résonné dans mon appartement et j'ai tout de suite pensé à lui. A une heure pareille qui d'autre. Alors j'ai souris. Et mon sourire a disparu. Les mots devant mes yeux ne m'ont pas fait sourire. C'est ainsi qu'un homme met fin à une histoire. A une heure du matin, par un sms.

    Sur le chemin j'avais une seule idée en tête. J'y suis arrivé à deux heure du matin, les aiguilles de ma montre ne mentaient pas. Peut être à une ou deux minute près. Un peu plus loin dans la nuit. Assez éveillé pour parer au choc. La sonnerie stridente de son appartement a résonné à l'intérieur. Et j'ai souris en l'imaginant se redresser dans son lit en se demandant qui pouvait bien le déranger à une heure pareille. Il était étonné en ouvrant la porte. Ses sourcils se sont levés dans un mouvement d'étonnement. Une grimace est apparu sur ses lèvres tandis que je l'assomais d'un coup de batte de baseball. Je l'ai trainé jusqu'a la baignoire que j'avais emplis d'eau froide. J'ai branché son téléphone au chargeur. Je l'ai mis lui dans l'eau j'y ais ajouté le portable. C'est ainsi qu'une femme met fin à une histoire. A deux heures du matin, par un portable bouygues telecom.